Gare à qui veut mon zizi
25 novembre 2012
Ah, pauvreté, quand tu nous tiens. J’ai fait une remarque selon laquelle, lorsqu’on est pauvre, on est philosophe. La remarque vaut ce qu’elle vaut, elle n’engage que moi. Moi je pense que, lorsque l’on est pauvre, lorsqu’on a du mal à joindre les deux bouts, lorsqu’on s’offre difficilement deux repas par jour, l’on se met à réfléchir, l’on ose quelques questionnements ; entre autre pourquoi la terre est-elle est ronde, pourquoi…