Ces filles qui nous rendent la tâche difficile…
Cordiaux salamalecs !
Ma vie familiale, et quelques motivations assez personnelles ont forgé mon inébranlable respect pour la gent féminine. Advienne que pourra, je ne tenterai rien, rien qui puisse porter atteinte à l’honneur et à l’épanouissement (sur tous les plans) de la femme ; j’en prends Dieu à témoin. Mais ce ne sont là que des convictions personnelles, qui ont tôt fait de paraître désuètes, des combats qui paraissent inutiles, surtout que la gent féminine elle-même n’encourage guère dans ce sens.
Je n’ai aucune envie de tergiverser, dans cet article : les filles, les femmes ne me donnent plus aucune raison de m’affubler du stupide et pompeux titre de « féministe » ! Non, je n’ai plus du tout envie de perdre mon temps à persuader mes camarades qu’il n’y a rien de plus vénérable que la femme. Non, j’en arrive même à avoir honte de l’une de mes affirmations : « la meilleure façon d’adorer Dieu, est de prendre tellement bien soin de sa femme que… » .
Les jeunes filles, et leurs aînées ne forcent plus le respect comme jadis ; la gent féminine perd de sa valeur, de sa crédibilité, et ne donne plus de raisons de croire en une hypothétique égalité des sexes. Et pour cause…
Ces vicieux modèles qui vous desservent…
Les jeunes filles de notre époque, malheureusement, souffrent du manque d’exemplarité. Tout ce qu’elles ont comme modèles de réussites, reste ces dames qui, imbues de leur personne et satisfaites de leur triste vie sans repères, se contentent de vivre une vie de « mère célibataire heureuse ». Avoir un job, avoir un revenu, avoir une voiture, et avoir une maison n’est pas suffisant pour se définir femme épanouie ! Être femme, c’est peut-être aussi être au foyer, et toute femme incapable de composer avec un homme n’en est pas une.
Oui je vous entends déjà murmurer à l’aberration ! Être nonne est une chose ; être divorcée, en est une autre ; et être seule pour mener une vie sans normes (je précise que la norme ici n’est pas l’homme), sans être soumises à quelques règles que ce soient, ce n’est pas une réussite en soi. Pourtant c’est tout ce que nos jeunes filles ont comme modèles, et croient dur comme fer qu’on vit mieux en se passant du joug masculin.
Comment éduquer sa fille dans le respect des valeurs familiales, lorsqu’on ne vit pas soi-même, en famille ? Quelles valeurs transmettre à ces jeunes filles, lorsqu’on passe des heures dans les bars, avec des collègues, à boire ? Vous me faites pitié, en vous laissant embrigader par ces associations de vieilles femmes impolies, frustrées et insoumises.
Ces vices que vous embrassez volontairement…
Je me suis toujours amusé à expliquer la bêtise humaine, à essayer de la comprendre, et arriver à la pardonner. Mais je suis convaincu d’une chose : on peut être fauché et digne ! J’abhorre toutes ces filles qui, accusant le sort de ne pas être tendre avec elles, s’adonnent à des pratiques peu élogieuses ! Beaucoup d’ailleurs le font juste par vice ou plaisir. Il me souvient encore la sextape tournée par cette abrutie ivoirienne avec son petit ami. Ne me dites pas que la vidéo a été publiée sans son consentement ; elle a été filmée volontairement ; elle a volontairement livré ses parties intimes à une camera. Alors quoi ? C’est l’homme qui lui a manqué de respect, dans ce contexte ?

Vous ne finissez pas de vous plaindre de ne représenter qu’un objet sexuel pour l’homme, alors que vous êtes celles-là qui remuent les fesses et pubis dans des clips ; vous êtes celles-là qui n’hésitent pas à se mettre en bikini pour la publicité d’une boisson énergisante. Vous n’avez pas fini de vous plaindre de harcèlement sexuel, alors que vous êtes celles-là qui vont à des entretiens d’embauche avec des décolletés outrageusement plongeants.
A chaque fois que l’un de mes amis vient se plaindre en me disant « ma copine me trompe ; avec un homme marié », je suis de plus en plus convaincu que le machisme a de beaux jours devant lui. Les hommes ne composent qu’avec la stupidité et l’imbécillité de ces filles qui ont hâte de savourer les omelettes sans casser les œufs. Sinon, une étudiante, capable de raisonnement intellectuel, cherchera quoi dans le lit d’un homme déjà marié, sous l’option de la monogamie, de surcroit ? Vous êtes bêtes ou vous faites exprès ? J’ai une fois rédigé un article intitulé « ces hommes qui nous rendent la tâche difficile », qui aujourd’hui me paraît un peu trop partial, car n’ayant pas pris en compte la connerie dont peut faire parfois preuve la femme. C’est cela que vous voulez que je respecte et défende ?
Je vais dire ici quelque chose qui n’a absolument rien de personnel ; mais comprenne qui pourra :
Chaque grand homme a eu à mener des combats, de rudes combats qu’impose l’existence épanouie. Dans ces épreuves, l’homme a toujours eu une femme à ses côtés pour le soutenir et le motiver ; à l’égard de cette femme, tout grand homme a une reconnaissance éternelle ! Posez-vous la question, jeunes dames : quel homme aura-t-il cette reconnaissance envers moi, un jour ?
C’est un peu égoïste mais je vais me répéter : nulle ne prendra part à ma gloire, sans avoir pris part à ma croix !
Les hommes sont ce qu’ils sont ! Ce n’est pas une excuse, je le sais ! Mais ce n’est pas non plus une carte infaillible, contre laquelle vous ne pourrez résister. Si les hommes sont incapables de retenir leur braguette, faites-vous honneur en retenant votre string.
Il est certain que je ne vais pas me mettre à gifler les femmes, mais certains de vos agissements me forcent à revoir ma copie. Comment vous respecter, quand vous êtes incapables d’être honnêtes envers vous-même, pour l’être envers votre partenaire ? Comment vous témoigner le moindre égard, lorsque vous passez votre temps à tromper le jeune étudiant pour plaire à l’imbécile infidèle ? Comment continuer à lutter pour vos droits, lorsque vous troquez votre dignité contre quelques présents constitués de plats de poulets+bières, et quelques billets de banques ?
Que ce soit clair : ceci n’est pas un article écrit par un aigri plaqué par sa copine au profit d’un quelconque autre individu. Ce n’est qu’un triste et amer constat que j’ai décidé de faire. Je sais, cela ne me regarde peut-être pas, mais je préfère vous le faire savoir pour que je n’ai plus à justifier mes prochains silences…
Oh ! La femme, pour moi, est et demeure respectable, vénérable, adorable. Je ne lutterai plus pour vos droits, tant que vous semblez être satisfaites de votre médiocrité. Je n’empêcherai personne de vous cracher au visage, si c’est ce que vous méritez. En ce qui me concerne, moi Aphtal Salomon CAYAMAGA, je suis juste incapable de vous faire couler la moindre larme. Peut-être est-ce pour cela que je passe pour un imbécile à vos yeux ? N’empêche, votre chance, est que j’en ai fait le serment !
J’ai dit !
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