Le mari, l’épouse, et la coépouse…
« Miva hô nam looooo », le cri repartit de plus belle. Plus aucun doute, la vie d’une honnête citoyenne était en danger.
Cordiaux salamalecs, chers lecteurs. Je vous espère en parfaite forme. Je tiens par ailleurs à vous présenter mes excuses (quoi que rien ne m’y oblige) pour mes infidélités de plus en plus nombreuses, sur ce blog, qui est avant tout LE MIEN, avant d’être le nôtre. Le propos de cet article est motivé par d’incessants débats, de plus en plus récurrents, concernant la jeunesse ; même si, malheureusement, la grande absente…
Il y a des femmes qui abandonnent l’école pour exercer un commerce afin de soutenir leur petit ami, ou leur fiancé dans ses études. J’aimerai bien qu’on me montre un homme qui s’est mis à cirer des chaussures afin que sa petite amie obtienne son diplôme d’enseignement supérieur.
De l’ambition pour notre #Degnigban, on peut en avoir, sans forcément être Président de la République. Si jamais mon Tweet incriminé avait un quelconque lien avec la politique, je le défendrai en disant que ce n’est pas un péché que d’exiger des candidatures de qualités, pour le poste de Président de la République.
Paix sur vous, amateurs et visiteurs du bruit du silence. Toujours un plaisir de vous savoir de plus en plus nombreux, mais aussi de plus en plus acerbes en critiques. Cela nous permet aussi de répondre à vos attentes, quoiqu’ici, vous ne soyez pas vraiment rois :
Tout – ou presque – débute par… la surprise. 😰 La surprise d’une soudaine douleur d’un proche parent, l’annonce de l’accident ou d’un problème de santé d’une connaissance…la nécessité d’agir, de réagir, face à l’imprévu, la nécessité de faire face au cas de force majeure, l’imperieux devoir d’oeuvrer pour la jouissance d’un sacré droit, celui de se soigner… Oui. Tout part d’une surprise. Le genre de surprise qui bouscule tout…