A qui sont ces cuisses à peine voilées…
27 octobre 2013
De gros nuages blancs, purs et soyeux s’écartent peu à peu, pour m’offrir à travers le hublot, un spectacle d’une beauté séduisante, captivante. Nue et mouillée par une fine et insistante pluie, elle avait l’air fraîche et proprette, et la magnifique verdure, plus ou moins dense qui s’étendait à perte de vue, comparables à de poils pubiens, finissait de lui donner des allures de vierge qui enfin décide de se…