Belinda, le diable et moi
18 décembre 2012
Belinda était de loin, la fille la plus charmante de sa filière, sinon de toute l’école. J’étais privatiste, alors qu’elle était publiciste. Du coup, nos rencontres étaient plutôt fortuites, rares et brèves. Cependant, elle occupait en permanence mes pensées. Ses doigts, ses jolies dents que dévoilent difficilement des sensuelles lèvres dans de rares sourires pourtant si éblouissant et si revigorant. Son teint était d’un éclat indescriptible, hésitant entre la chaleureuse…